Paris-Sofia

L'avantage quand on doit prendre l'avion et qu'on a pas dormi de la nuit, c'est que le voyage permet de faire une petite sieste. A peine assis à ma place, je m'endors pour ne me réveiller (ou au moins atteindre un état semi-comateux) qu'à Vienne, où nous devons attendre notre correspondance une petite heure.

En Autriche, la chance semble nous sourire une fois de plus, lors de l'enregistrement de nos billets pour le second avion, l'hôtesse nous fait une proposition alléchante : prendre l'avion suivant (un maximum de 4heures d'attente) et recevoir au choix 340€ de bons d'achats, ou 250€ cash, chacun !
Nous acceptons bien volontiers, nos billets nous ayant coûté 200€ par personne, ça rembourserait notre voyage.

Nous nous préparons donc trouver une position optimale pour la sieste qui s'impose quand l'hôtesse revient vers nous pour nous annoncer que l'offre n'est plus valable, mais que pour nous remercier de notre bonne volonté elle nous offre les places en première classe (ce qui implique des places à l'avant de l'appareil, des journaux à disposition, et un plateau repas un poil plus garni) !
Ce n'est évidemment pas dur pour nous de quitter les sièges en métal de l'aéroport de Vienne pour rejoindre les sièges d'un petit avion de l'Austrian Airline nous menant à la capitale Bulgare, София (Sofia).